Différrentes biographies  intéressantes à lire et à méditer !

Que_Dieu_vous_bnisse_abondamment.jpg

BIOGRAPHIE DE MON AMI SERGE

Je suis né en 1949 en Lorraine, dans une famille de confession Catholique très peu pratiquante.
Avec des parents qui n'avaient pas de gros problèmes particuliers, genre, alcool, disputes ou autres. Mon papa était mineur dans une mine de fer et maman était au foyer.
On ne manquait de rien aux niveaux entretient de tous les jours.
Nous étions trois frères, je suis le deuxième et l'on s'entendait assez-bien sans trop de problèmes particuliers entre-nous, à part de petites chamailleries de gosses...
A l'école j'avais des problèmes des difficultés à suivre les programmes scolaires suite à une très mauvaise audition et je restais souvent à l’écart des jeux récréatifs et divers...
J’ai participé à des cours de catéchisme et je croyais en l'existence d'un Dieu.
J'ai fait aussi la grande communion mais c’était par tradition.
J'ai passé ma jeunesse sans problèmes particuliers, que ce soit avec la drogue,
Le tabac, l'alcool, les jeux d'argent ou les mauvaises fréquentations.

Mais dans mon cœur c'était le « vide », j'avais quand même des problèmes d'ordre intérieure, un mal-être à vivre.
J'ai travaillé dans une entreprise de transformation de métaux en Lorraine de 1968 à 1973,
Puis ce fut le chômage.

En 1976, j'ai vu dans un journal une annonce pour des embauches dans l’entreprise des automobiles Peugeot à Sochaux dans le Doubs.
J'ai fait une demande et j'ai été embauché et logé dans un foyer de travailleurs célibataires.
A cette époque j'étais loin de mes parents et seul dans cette région avec peu de véritables amis.

A l'âge de 29 ans en 1978, un jour, alors que je travaillais dans cette usine automobile,quelqu'un m'a parlé de sa foi en Jésus-Christ. J’ai accepté son invitation et je suis allé avec lui un Dimanche après-midi dans son assemblée évangélique. Un prédicateur parlait des choses occultes que Dieu réprouve, j'ai trouvé la prédication très intéressante et c'est après plusieurs réunions que j'ai compris que Jésus avait donné sa vie à la croix pour moi a cause de mes péchés.

Tout cela m'intéressait et un vendredi soir dans ma chambre au foyer des travailleurs célibataires avec cet ami Chrétien, nous nous sommes mis à genoux, nous avons prié et j'ai accepté de « donner » mon cœur à Jésus- Christ et de le suivre.
J'ai compris que j'avais besoin de Jésus-Christ pour continuer ma vie.

En 1980 j’ai pris le baptême d'eau par immersion comme c'est indiqué dans la Bible.
Il est vrai qu'un Samedi en 1973 en Lorraine, j'avais été abordé par des chrétiens,
Qui m’invitaient pour une réunion ce soir-là mais je ne suis pas allé à leur invitation.
Mais Dieu m'attendais en Franche-Comté !

Depuis, malgré des hauts et des bas dans ma vie, je veux rester fidèle au Seigneur Jésus-Christ car il est pour moi l'unique solution pour ma vie et mon avenir.
Il est vivant, je prie, je lis et j’étudie depuis cette période la Bible et j’ai rejoins une Eglise Chrétienne ou La Parole de Dieu est prêchée dans toute sa Vérité.Je sais qu'Il m'aime et qu'Il ma sauvé, et donné par sa grâce la Vie Eternelle.

A Dieu soit toute la gloire pour son immense amour envers moi.
Que Dieu vous bénisse. Amen !
Serge Pasqualotti

" LES TROIS PASSOIRES DE SOCRATE "

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse. Quelqu'un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit : « Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ? »

« Un instant, répondit Socrate. Avant que tu ne me racontes tout cela, j'aimerais te faire passer un test rapide. Ce que tu as à me dire, l'as-tu fait passer par les trois passoires ? »

« Les trois passoires ? Que veux-tu dire ? »

« Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, reprit Socrate, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. C'est ce que j'appelle le test des trois passoires. La première passoire est celle de la VÉRITÉ. As-tu vérifié si ce que tu veux me raconter est VRAI ? »

« Non, pas vraiment, je n'ai pas vu la chose moi-même, je l'ai seulement entendu dire. »

« Très bien ! Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Voyons maintenant, essayons de filtrer autrement, en utilisant une deuxième passoire, celle de la BONTÉ. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de BIEN ? »

« Ah, non! Au contraire! »

« Donc, continue Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es pas sûr qu'elles soient vraies. Ce n'est pas très prometteur ! Mais tu peux encore passer le test, car il reste une passoire : celle de l'UTILITÉ. Est-il UTILE que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ? »

« Utile ? Non, pas vraiment, je ne crois pas que ce soit utile. »

« Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni VRAI, ni BIEN, ni UTILE, pourquoi vouloir me le dire ? Je ne veux rien savoir. De ton côté, tu ferais mieux d'oublier tout cela. »